Partout dans le monde, les marques paient des milliards pour des annonces et vidéos en ligne qu’aucun consommateur ne voit jamais.

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Les cybercriminels s’en mettent plein les poches pour des impressions sur des sites que personne ne visite, grâce à des « bots » et « fraud farms » qui génèrent des clics sans valeur et des visites de sites fictives. L’Association of National Advertisers (ANA) estime que cette fraude a atteint 7,2 milliards de dollars aux États-Unis en 2016. Et en Belgique ? Sparkle* c'est rendu au siège central d’UBA à Grimbergen pour obtenir des chiffres et de plus amples explications.

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