
S’adapter au rythme effréné auquel changent les choses n’a rien d’évident pour les entreprises. Si elles veulent survivre, les entreprises doivent s’adapter au « connected consumer ».
Un phénomène baptisé « Digital Darwinism ». Ce terme a été employé pour la première fois par Brian Solis. Il signifie que la technologie et le comportement du client évoluent plus vite que la capacité des entreprises à s’adapter à ces nouvelles situations. 40 % des entreprises reprises sur la liste du Fortune 500 en 2000 n’y figuraient plus en 2010.
Les consommateurs se comportent différemment. L’information est disponible partout et à tout moment. Les clients sont moins fidèles et leurs attentes sont plus élevées. Là où le consommateur traditionnel continue à rechercher lui-même l’information via les médias classiques et numériques et les moteurs de recherche, ce nouveau consommateur suppose que l’information qu’il cherche viendra à lui.
Ce bouleversement numérique constitue certes une menace, mais il s’accompagne aussi de nouvelles opportunités, à saisir plus rapidement que jamais.