
Pour l'instant, c'est une tendance qui touche surtout les Etats-Unis, mais selon une étude récente menée par Hype Auditor, nos bons vieux influenceurs humains sont de plus en plus concurrencés par leurs homologues virtuels.
A l'instar de l'Américaine Miquela dont le compte Instagram est suivi par 1,8 million d'abonnés, voire d'autres avatars nettement moins réalistes, plus proches des univers des jeux vidéo, comme la Française Noonoouri (333.000 abonnés).
L'étude indique que ces influenceurs virtuels susciteraient presque trois fois plus d'engagement que les humains, et que les 18-24 et les femmes sont les plus susceptibles de s’engager dans une publication avec un influenceur virtuel. Toujours selon Hype Auditor, les vrais influenceurs doivent poster quatre fois plus de contenus sur Instagram pour obtenir le même nombre de followers que leurs homologues virtuels.