L’autocollant « Stop Pub » est maintenu

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L’autocollant « Stop Pub » existe depuis longtemps et régule la publicité non adressée. Lorsqu’un consommateur appose cet autocollant sur sa boîte aux lettres, il ne reçoit ni publicités non adressées ni magazines gratuits.

Certaines parties plaident en faveur d’une refonte radicale du système, ce qui supposerait que les consommateurs ne reçoivent de la publicité non adressée que si leur boîte aux lettres arbore un autocollant « Pub OK ». L’argument qui sous-tend cette mesure est la réduction du gaspillage de papier. La publicité non adressée et la presse gratuite ont néanmoins de nombreux effets bénéfiques. Outre leur valeur informative pour le consommateur et le rôle important qu’elles jouent dans la vie locale, elles stimulent l’économie et l’emploi. Qui plus est, le papier utilisé peut être entièrement recyclé.

Les arguments en faveur du maintien du système ont joué un rôle décisif dans les discussions avec les autorités. Vous trouverez ci-dessous une vue d’ensemble de la situation dans les différentes régions.

En Wallonie, une décision gouvernementale prise le 28 février 2019 prévoit le maintien du principe de l’autocollant « Stop Pub ». Le secteur de la presse gratuite s’engage à financer l’impression des autocollants et à informer la population.

En Flandre, un accord a été conclu entre le secteur, le ministre flamand Koen Van de Heuvel et l’OVAM. L’autocollant « Stop Pub » est maintenu et le secteur est soumis à des obligations similaires à celles prévues en Wallonie. L’accord est valable deux ans et sera soumis à examen pour une éventuelle prolongation.

À Bruxelles, les discussions avec le cabinet Fremault touchent à leur fin. Le principe de l’autocollant « Stop Pub » devrait également y être maintenu.

 

 

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