
La plupart des gens aiment les « to-do lists ». Il s’agit d’une technique efficace pour se faire une idée globale des tâches à effectuer. Mais une liste d’exclusion se révèle peut-être encore plus cruciale.
S’il est facile de se charger des choses à faire (avant de les barrer sur sa to-do list), il s’avère plus compliqué de faire les bonnes choses. Vous avez ainsi bien conscience de vos objectifs. Et vous excluez les tâches que vous ne devriez pas effectuer. Prenez quelques minutes pour indiquer plusieurs tâches que vous faites encore alors que vous n’en avez plus envie.
Identifiez l’activité qui vous demande le plus d’énergie et donnez-vous un mois pour prendre les mesures (y mettre un terme ou la déléguer) qui vous permettront de la rayer de votre liste d’exclusion.
La nouvelle année est typiquement la période des bonnes résolutions (alimentation plus saine, épargne…). La plupart des gens ne les tiennent néanmoins que jusque fin janvier. À la clé ? Des frustrations. Dressez donc une liste d’exclusion qui reprend vos « non-résolutions » : des choses que vous ne ferez plus l’an prochain. Et si vous tenez vraiment à faire quelque chose, retenez les mots de John Carmack : « Focus is a matter of deciding what things you’re not going to do. »
Cyriel Kortleven,
orateur international sur le thème « VeranderMindset » (la mentalité du changement) et auteur de plusieurs livres, dont Less is Beautiful.
Nous publions chaque semaine une courte méthodologie pour appliquer le principe du « less is more ». Voici le quatrième conseil de Cyriel Kortleven.